

Chemin éclairé,
les ombres se transforment
en forces communes.
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Autrefois, quand les villes s’endormaient dans l’ombre, le falotier parcourait les rues muni de sa perche, de son crochet et de sa flamme. Au crépuscule, il allumait un à un les réverbères puis il passait de nouveau dans les rues pour éteindre ces lanternes et parfois les nettoyer ou remplacer le combustible. Le falotier par sa présence régulière donnait rythme et sécurité à la communauté.
C'était là mon métier d'enfant, une idée puisée dans "le petit prince" d'Antoine de Saint-Exupéry, mais éteinte par l'avènement du gaz et de l'électricité bien avant que mon propre chemin ne s'éclaire.
Pourtant, aujourd'hui je suis falotier. Je rends possible le mouvement en éclairant les chemins oubliés ou cachés, j'amplifie les lumières existantes pour qu'elles réverbèrent individuellement ou collectivement.
Je vous laisse découvrir les offres d'accompagnement proposées et me tiens à votre disposition pour toute demande d'information.
H.F

